Jean-Marie Roy. Une audace béton
Martin Dubois, architecte
Marquées par le courant moderne en architecture, les années 1960 et 1970 ont vu pousser de nombreux immeubles en béton. Les créateurs exploitaient toutes les possibilités de ce matériau en vogue. Parmi les figures québécoises les plus éminentes de cette période figure l’architecte Jean-Marie Roy.
Résidence André-Coindre du campus Notre-Dame-de-Foy, à Saint-Augustin-de-Desmaures
Photo: Renaud Philippe
Pendant ses études à l’École des beaux-arts de Montréal de 1947 à 1953, Jean-Marie Roy (1925-2011) s’intéresse très tôt à la modernité architecturale. Bien que l’enseignement des beaux-arts soit centré sur l’étude des grands monuments classiques et des œuvres du passé, les futurs artistes sont avides de nouveauté. Dans les revues d’architecture, ils découvrent les architectes modernes, tant américains qu’européens, et s’intéressent à leurs œuvres. À cette époque, l’architecture québécoise est encore bien ancrée dans la tradition.
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À lire
Martin Dubois, Jean-Marie Roy, architecte, Québec, Les Publications du Québec, 2012, 184 p.
Martin Dubois, « Révolution tranquille… et architecturale », Continuité, no 104, printemps 2005, p. 33-38