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Photo: Linda Turgeon

Production à l’ancienne

Malgré les grandes avancées technologiques, la méthode traditionnelle de production du sirop d’érable compte son lot de partisans, dont certains baignent dans l’acériculture depuis des générations.

C’était inévitable : au fil du temps, la façon de produire du sirop d’érable s’est beaucoup transformée. Malgré cela, « toutes les technologies acéricoles modernes sont inspirées des savoir-faire traditionnels », affirme Joël Boutin, technologue agricole au Club d’encadrement technique acéricole des Appalaches, un organisme sans but lucratif qui accompagne ceux qui souhaitent renouveler leurs équipements et leurs façons de faire. « Ces méthodes avaient nécessairement du bon, parce qu’elles ont traversé le temps jusqu’à nous. »

Pour plusieurs tenants des techniques transmises de génération en génération, la cueillette de l’eau d’érable, la manière de la faire bouillir et le mode de chauffage utilisé sont autant d’étapes qui influent non seulement sur le goût du sirop, mais aussi sur l’expérience globale de l’acériculture. Sans compter que la préservation des méthodes traditionnelles constitue à leurs yeux un précieux héritage.

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Patrimoine acéricole. On revisite la cabane

Printemps 2020 • Numéro 164

Des racines bien vivantes

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