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Photo: Gabriel Gingras-Lacroix, Corporation de La maison Dumulon

Rêves d’Europe en Abitibi

En 1931, les immigrants formaient près du tiers de la population de Rouyn-Noranda. Les communautés culturelles dont ils étaient issus ont laissé des traces dans le patrimoine bâti de la ville. La preuve par quatre.

À partir du XVIIe siècle, des millions de personnes ont traversé les océans pour aller s’établir au Canada. Cette puissante vague migratoire a mené des milliers d’immigrants, pour la plupart originaires d’Europe centrale et d’Europe de l’Est, vers les villes minières de l’Abitibi. Ils ont peuplé cette région de manière importante, tout en faisant partie intégrante de sa vie collective.

Puis, à partir des années 1970, on assiste à un déclin rapide de ces communautés, conséquence de la fin des activités d’un grand nombre de mines, dont la mine Horne, en 1976. Les lieux identitaires mis sur pied par les immigrants ferment. Leur présence a néanmoins laissé des traces dans le patrimoine bâti. En voici quatre exemples.

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Patrimoine et diversité. La rencontre en héritage

Hiver 2019 • Numéro 159

Quand patrimoine rime avec ouverture

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