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Photo: Info Suroît

Trop complexes à sauver ?

Silhouettes audacieuses, méthodes de construction nouvelles, matériaux inédits… Les églises modernes présentent des particularités techniques qui gênent parfois leur restauration. Ce qui n’empêche pas la réalisation de beaux projets.

Lorsqu’il raconte la conversion de l’église Saint-Augustin en lieu de diffusion culturelle, Pierre Crépeau s’emballe. Le coordonnateur à la vie culturelle et aux communications de Salaberry-de-Valleyfield a suivi de près les étapes qui ont mené la Ville à acquérir et transformer ce bâtiment, en 2013. Le nouvel édifice Gaëtan-Rousse a été inauguré en novembre dernier. Il sert désormais de salle de répétition et de spectacle à des ensembles musicaux ou vocaux, en plus d’offrir des espaces de location.

« Dès le départ, l’architecture novatrice de l’église nous a mis sur la piste de son utilisation possible », relate Pierre Crépeau . Construite en 1965, l’« église ronde », comme l’appellent les Campivallensiens, possède un intérieur organisé en amphithéâtre et un plancher sur un seul niveau. « Nous avions donc la capacité de l’adapter à des activités de diffusion culturelle sans déboursés trop importants. »

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Cet article est disponible dans :

Églises modernes. Oeuvres de pionniers

Printemps 2017 • Numéro 152

Lumière sacrée

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