RETOUR

Source: Patri-Arch

Une architecture en mouvement

Climat, tendances culturelles et régionales, évolution des pratiques agricoles : autant de facteurs qui ont influencé la forme de la grange québécoise au fil du temps. Survol de l’histoire architecturale de cette reine de nos campagnes.

Lorsqu’on aborde le thème de la grange, au Québec, il est plus juste de parler de grange-étable. Essentiellement destiné à l’industrie laitière ou à l’élevage bovin, ce type de bâtiment est en général constitué de deux sections ayant chacune sa fonction : l’une pour abriter les récoltes de grain et de foin, l’autre pour loger le bétail. On peut aussi y avoir greffé une écurie, un poulailler, un hangar à fumier, une remise pour la machinerie, une laiterie, un silo, etc.

À l’époque de la Nouvelle-France, la grange et l'étable sont généralement deux constructions indépendantes, comme c’est le cas en France au même moment. Peu après la Conquête britannique, mais surtout au XIXe siècle, le modèle grange-étable se répand à travers le Québec pour des raisons avant tout climatiques.

Pour lire la suite, commandez le magazine en cliquant ici.

Cet article est disponible dans :

Granges anciennes. L'art de tenir debout

Été 2020 • Numéro 165

Des souliers qui font voyager dans le temps

Article suivant

Cet article est gratuit !

Continuité vous offre gratuitement cet article. Vous aimez ? Abonnez-vous !

Je m’abonne !