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Photo: Rosalie Mercier-Méthé

Une chambre à soi

En Nouvelle-France, les demeures cossues étaient aménagées pour mettre en valeur le statut social de leurs maîtres. Elles ont ensuite évolué pour offrir une certaine intimité. Une étude inédite dévoile ce changement de plan architectural.

 

Maisons de la rue Saint-Pierre à Québec / Photo: Rosalie Mercier-Méthé

La plupart des gens se représentent une maison de Nouvelle-France comme une demeure rudimentaire. Ils s’imaginent essentiellement une grande pièce où se déroulaient pêle-mêle toutes les activités du quotidien. En fait, c’est ainsi que vivaient les colons et les ouvriers des villes et des campagnes. Les membres de l’élite, pour leur part, résidaient généralement en milieu urbain, dans un logement doté de plusieurs espaces aux usages bien définis.

Contrairement aux maisons des habitants, qui ont fait l’objet de nombreuses recherches, les résidences des nantis du temps de la colonie ont rarement été étudiées. Pourtant, elles en disent long sur le mode de vie de leurs propriétaires, qui prenaient modèle sur les nobles d’outre-mer. Elles permettent de mieux comprendre la société de l’époque, soucieuse de bienséance et d’étiquette.

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Cet article est disponible dans :

Patrimoine maritime. Cap sur le Saint-Laurent

Automne 2016 • Numéro 150

Et vogue le navire !

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